La covid 19 a paralysé toutes les activités mondiales, le secteur éducatif n’est pas épargné. Les écoles privées frappées par cette pandémie en raison de l’Etat d’urgence qui a été décrété par le chef de l’Etat. Au micro de Kelasi magazine, les dirigeants de ces écoles ont poussé leurs cris d’armes. Chacun définit l’année en cours selon son propre dictionnaire.
» Nous traversons une année scolaire plus exceptionnelle car tout a été remise en cause » a fait entendre Alex Loko
Le directeur du complexe scolaire le rocher dans la commune de matete, pense que l’état d’urgence décrété par le chef de l’État Félix TSHISEKEDI a tout bouleversé au point d’accentuer la souffrance des enseignants et personnels des écoles privées.
« Malgré que la gratuité avait balayé un grand nombre d’élèves dans nos écoles, nous pouvions encore survivre, c’est cependant beaucoup plus difficile actuellement « , a-t-il renchérit.
Alexi LOKO-MAVINGA révèle la perte de trois agents dont deux enseignants et une sentinelle. Il attribut ce décès au disfonctionnement de l’établissement pendant l’état d’urgence.
Par ailleurs, Joseph THSIWAWA MBOY, directeur du complexe scolaire BEKA dans la commune de matete affirme que l’état d’urgence était un calvaire total pour les écoles privées. « Nous sommes tous congolais, être traité au même pied d’égalité nous est favorable »
Joseph THSIWAWA MBOY estime que le gouvernement devait leur accorder de la chance aux privées même degré que les établissements publics.
Ce cas des figures sont légions en République démocratique du Congo. Les enseignants et promoteurs ne cessent de montre leurs désarrois au travers des médias dans l’espoir d’être exaucé. Notons que ces malheureux éducateurs veulent une solution alternative face à la gratuité initiée par le chef de l’état Félix TSHISEKEDI et demande un soutien financier
Les enseignants, promoteurs et personnels des écoles privées sollicitent l’implication du chef de l’Etat Félix Tshisekedi afin de trouver gain de cause.
Tychique BANZOMBOLO