Alors qu’ils ont passé la première étape de leurs épreuves préliminaires de l’examen d’état, la plupart d’élèves finalistes, pourtant dans un climat de gaieté, manifestent une réticence face la presse.
Que ce soit devant la caméra, le dictaphone ou téléphone, ces élèves, élites et futurs cadres universitaires restent indifférent auprès des journalistes venues leur interviewé sur le déroulement de l’examen d’état.
A peine soliciter, ils disent ne pas être prêt pour parler, d’autres redoute d’être publié en monquerie, en plus de ceux qui font montre d’une timidité. On attendait pourtant avoir un esprit d’ouverture pour ces candidats qui doivent faire face aux jury lors des épreuves d’oral de français et jury pratique.
Si certains font le muet, d’autres par contre manifestent un engouement quand il faut passé devant le media. Ils sont considérés comme les courageux auprès de leurs camarades.
Ils se sont segmenté en section, estimant que ceux de littéraire, scientifique et commerciale sont susceptibles de bien parlé au détriment de ceux de sections techniques.
Quoiqu’il en soit, l’expression orale ne semblent pas être facile pour certains finalistes, au regard de leurs difficultés à manier la langue de Molière.
Audrey Ngumbala
