La tricherie, une pratique que l’on voit souvent pendant n’importe quelles épreuves malgré que cela soit une opposition aux règles qui régissent la passation des examens.
Beaucoup d’entre les tricheurs ont, désormais des techniques et sont devenus spécialistes. Sur ce, l’équipe de kelasi magazine a pensé connaître l’avis des finalistes sur la fameuse pratique qu’est la tricherie.
Pour Sabrina Malungidi à n’djili, « la tricherie hondicape le futur de beaucoup des finalistes car ils peuvent bien obtenir leurs diplômes mais sans aucun bagage intellectuelle », s’est-elle exprimée.
Kevin Djangi à lemba montre ce sont les examinateurs qui favorisent la tricherie car ils posent des questions difficiles. « A mon avis, elle est due au fait que les compositeurs de l’EXETAT formulent des questions compliquées et elles sont, par moment, en dehors du programme national.»
Bénie Landu à n’djili pointe, quant à elle, du doigt les autorités dans cette histoire de la tricherie. « Pour moi, cette tricherie est connue de toutes les autorités et elle est même orchestrée et favorisée par eux.»
Pour certains autres comme, Marco Musala et James Mbidi, la tricherie doit être condamné de mains fermes. « La tricherie aux examens d’État et la chose qu’on doit condamner avec la dernière énergie car ça défavorise l’intérêt ou la logique des études, cela a pour conséquence une mauvaise formation au niveau professionnel.»
Whitney Ndombasi, stagiaire
