Les travaux de la commission paritaire Gouvernement – Banc syndical de l’EPST ont démarré ce mardi 27 février 2024 au village Venus à Bibwa, dans la commune de la Nsele, à Kinshasa. Ils passeront en revue les différentes préoccupations des enseignants congolais afin d’améliorer la qualité de l’enseignement.
Les participants ont mis en place deux commissions majeures qui devront tabler au plutard mercredi 28 février sur leurs attentes. Il s’agit premièrement de la commission définition des stratégies et actions prioritaires à réaliser dans le cadre de l’enveloppe allouée au sous-secteur de l’Enseignement dans l’exercice budgétaire 2024. La deuxième porte sur les lobbyings à mener.
Monsieur José Ngongbaka Lawa, rapporteur de l’intersyndicale des syndicats de l’EPST a, devant la presse, éclairé la lanterne de l’opinion sur la tenue des ces assises.
« La commission paritaire ne vise pas les nouveaux engagements du Gouvernement, mais une évaluation à mi-parcours de l’année pour définir les actions prioritaires en faveur de l’enseignant sur base de l’enveloppe budgétaire allouée à l’EPST, exercice 2024 » a-t-il souligné, tout en remerciant le ministre de tutelle, Tony Mwaba Kazadi d’avoir associé le banc syndical dans la gestion des fonds alloués au ministère en vue prévenir les risques.
José Ngongbaka Lawa s’est aussi exprimé sur la participation des membres du Syeco à ces travaux.
« Les membres de Syeco sont là, hier lors de l’interview que nous avions eu, tous se sont présentés. Nous avons ici, la recommandation signée par madame le secrétaire général Cécile Tshiyombo qui atteste bel et bien que Syeco est présent dans ces assises » a-t-il dit, balayant ainsi les mauvaises langues qui rapportaient l’absence de cette organisation syndicale.
rappelons que ces travaux ont été lancés samedi 24 février dernier par le ministre de tutelle, Tony Mwaba au nom du Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde.
Art. Sé : minepst.gouv.cd/ Dan de Dieu Kayanda et Glodi Mboma
